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    Quand,un soir je l’ai croisée,

    Une pluie d’étoiles, sur nous, est tombée

    Et j’ai vu ses yeux étincelants,

    Briller jusqu’au firmament.

     

    Je l’appellerai dorénavant,

    Ma princesse aux yeux d’argent

    Ou ma déesse aux ailles de fées

    Qui ferait, mon cœur, craquer.

     

    Quand je la voit,

    Ma voix en reste coi.

    Quand je l’entend,

    J’ai l’envie de lui faire des présents.

     

    Elle a une voix d’or

    Et des yeux d’ange.

    Que personne ne nous dérange

    Auprès de son cœur, je dors.

     

    Théo FROSSARD


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  • Je suis différent.

    Je ne brille pas comme les autres

    Et pourtant nous partageons les memes sentiments.

    Mais c'est parce que je suis unique.

     

    Il m'arrive de faire le bien

    Mais aussi de m'éteindre.

    Il m'arrive de ne pas atteindre

    Les reves qui sèment mon chemin.

     

    Malgré tout, je suit ma route

    Parcourant d'autres horizons.

    Des amis, j'en aurai sans doute

    Avec beaucoup d'attention.

    Theo Frossard


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  • Tu m'as envouté.

    Quand je te parles, j'ai l'impression de rever.

    Mais je sais que tu es sensible.

    Et pour prendre soin de toi, je ferais mon possible.

     

    Je ne sais pas si tu m'aimes

    Mais je ferais tout pour que cela le deviennes.

    Comme la fleur qui va sècher.

    Je me dépècherai de t'épater.

     

    Je te couvrirai de cadeaux.

    De tout ce qu'il y a de plus beau.

    Mais je ne t'offrirais que mon coeur

    Car tu es mon ame soeur.

     

    Théo FROSSARD


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  • Quand je pense à toi,

    C'est comme une tournée de Guetta,

    Où de vant de millions de gens il se produira.

     

    Quand je pense à toi,

    C'est comme un village recouvert

    Par la neige un jour d'hiver.

     

    Quand je pense à toi,

    C'est comme un long fleuve

    Qui, sans eau, le lit ne s'abreuve.

     

    Quand je pense à toi,

    C'est comme tout mon amour

    Qui te chanterai chaque jour.

     

    Théo Frossard


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  • Le soleil est haut dans le ciel

    Et le vent s'est arreté.

    La nature, de vert s'est habillé

    Les oiseaux reviennent se moquer du froid hivernal.

     

    Il fait chaud et beau,

    Et la rivière chante la fin de l'hiver.

    Au fond de son lit, on entend le chant de l'hiver.

    Je ferme les yeux dans ce champ de repos.

     

    Le temps passe et se lasse.

    Finalement j'ai dormi un peu

    Pour reposer mes yeux bleux

    De la meme couleur que les cieux de glace.

     

    Théo FROSSARD


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