• Coeurs de foudre

    Par une chaude journée

    Je m'aprête à rentrer dans le lycée

    Lorsque mes yeux, éberlués

    Se posent sur cette beauté.

     

    Soudainement, le temps s'arrête

    Et ses yeux vers moi se tornent

    Puis le bruit se tait

    Nous restons là, plus rien ne bouge.

     

    Puis elle s'avance lentement

    Ses levrese touchent les miennes

    Nos coeurs en avant

    Battent ensemble, sans gène.

     

    Théo FROSSARD


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